Madame, Monsieur,
Veuillez trouver ci-joint ma lettre de renonciation aux soins hospitaliers dans le cas où je développe des complications liées à une infection virale de type SARS-Cov2. Vous trouverez ci-dessous les explications détaillées vous démontrant que je prends cette décision de manière libre et éclairée. Sachant que je ne viendrais pas de mon plein gré à l’hôpital, je tiens par cette lettre à signaler que je ne souhaite pas être emmené à l’hôpital contre mon gré par un proche, par le personnel des SAMU ou par les pompiers.
Le première raison, je dois l’admettre est idéologique. Depuis le début de la pandémie de covid, notre gouvernement n’a pas essayé de traiter les personnes infectées par le virus et leur a demandé de rester à la maison et de prendre du Doliprane. Le Ministère de la Santé a même délibérément interdit les médecins de prescrire, leur interdisant de ce fait d’exercer leur métier et de respecter le serment d’Hippocrate envers leur client. « Oui, mais il n’y a pas de traitements efficaces », me répondrez-vous. Mais rien que d’écouter son patient et de lui donner un traitement lui permet de bénéficier de l’effet Placébo et de réduire sa peur, ce qui a pour effet de ne pas réduire encore plus ses défenses immunitaires. De formation ingénieur, mon métier est de rechercher des solutions aux différents problèmes techniques rencontrés dans la société pour laquelle je travaille. Je ne comprends donc pas pourquoi, le gouvernement n’a pas laisser les médecins rechercher des solutions. C’est pour moi de la non assistance à personne en danger. C’est aux médecins de trouver des solutions à la maladie de leurs patients et non pas au gouvernement.
En conséquence je ne vois pas pourquoi, pour un gouvernement qui refuse de soigner les personnes positives à la covid, je prendrais un risque pour ma santé en me laissant injecter une thérapie génique encore expérimentale (car la phase 3 n’est pas terminée) et pour lesquelles on n’a aucune connaissance sur les effets à moyen et à long terme.
La deuxième raison est scientifique. En Novembre 2020, quand les médias ont commencé à parler des vaccins à ARN messager, je me suis renseigné sur les différents vaccins à ARN messager qui existaient déjà. Ce que j’y ai appris ne m’a pas rassuré. Sur la page Wikipedia concernant Les Vaccins à ARN on peut lire.
« Certains vaccins à ARN peuvent également produire une forte réponse immunitaire avec des interférons de type I, associés à l’inflammation ainsi qu’à des manifestations auto-immunes, ce qui fait des personnes sujettes aux maladies auto-immunes des sujets potentiellement à risque pour ces vaccins. » Ayant moi-même une maladie auto-immune, vous comprendrez aisément ma première réticence par rapport à ce type de vaccin. La suite n’est malheureusement pas plus rassurante.
« Par ailleurs, l’ARN extracellulaire est connu pour être un facteur favorisant la coagulation sanguine et augmentant la perméabilité de l’endothélium. L’accroissement de la perméabilité endothéliale peut entraîner un œdème et stimuler la coagulation sanguine ce qui entraîne un risque de formation de thrombus, d’où des risques d’infarctus (notamment d’infarctus cérébral), de thrombose ou encore d’embolie pulmonaire. L’ARN qui se retrouve dans le sang est toutefois détruit très rapidement par des RNases et il n’est pas internalisé efficacement dans les cellules. »
Sur cette même page Wikipedia on apprend que tous les autres vaccins à ARN messager n’ont pas dépassé les essais cliniques. Il y a des vaccins à l’essai contre les cancers depuis 2008, contre la rage depuis 2009 et contre la grippe depuis 2018. Aucun n’a dépassé la phase 3 et malgré cela, il faudrait avoir pleinement confiance aux vaccins à ARN messager. Non, désolé, mais la confiance cela se gagne et se démontre.
Ainsi, pour gagner notre confiance, les laboratoires pharmaceutiques nous ont présenté des résultats d’essais cliniques avec des taux d’efficacité à 95%. Qu’en est-il après plus de 6 mois? L’efficacité des vaccins à ARN messager contre l’infection est de 39% en Israël (source) et 66% aux Etats-Unis (source). Ce n’est pas avec ce genre de résultats sur le terrain que les laboratoires vont gagner ma confiance. En effet, ne faisant pas partie des personnes à risque, la seule raison qui me pousserait à me faire vacciner serait de ne pas attraper la maladie pour ne pas la transmettre à autrui.
Quant aux vaccins à vecteurs viraux de type AstraZeneca, il n’est pas nécessaire de développer son efficacité vu que par rapport aux risques encourus par les vaccinés, ce vaccin a été interdit aux moins de 55 ans. Je tiens à ce niveau là de ma lettre à préciser que je ne suis pas contre les vaccins. Par contre, je suis pleinement en faveur d’une analyse profonde le la balance bénéfice/risque. De par leur technologie nouvelle, les vaccins à ARN messager et à vecteurs viraux sont à risque sur le moyen terme et le long terme. Ils ne peuvent donc avoir du bénéfice que pour les personnes qui ont un fort risque de développer une forme grave de la maladie. Je ne comprends pas pourquoi les vaccins classiques, similaires à ceux utilisés contre la grippe, ne sont pas autorisés en France. Les laboratoires ayant développés ces vaccins, eux au moins, n’ont pas menti sur l’efficacité de leurs vaccins (source).
Vous aurez donc compris que l’industrie pharmaceutique n’a pas ma confiance. Malheureusement, notre gouvernement l’a encore moins. Depuis le début, il n’y a eu que mensonges et décisions absurdes à tel point que certains pays étrangers ont traité la France d’Absurdistan. Au summum du mensonge, notre Président Emmanuel Macron qui en décembre nous disait qu’il ne rendrai pas la vaccination obligatoire. Depuis le 12 juillet, il l’a rendu obligatoire pour plusieurs catégories de personnes dans un contexte épidémique bien moins tendu que toutes les précédentes vagues. Son dauphin, Olivier Véran ne fait pas mieux vu qu’il y a quelques mois il nous disait encore que le passeport sanitaire ne serait jamais obligatoire pour les actes de la vie quotidienne tels que manger au restaurant. Effectivement, pour gagner notre confiance, ce n’est pas très efficace comme méthode.
Mais, il y a pire. Refuser de parler des effets secondaires des vaccins relève du mensonge d’Etat. Fin juillet, Laurent Mucchielli, Directeur de Recherche au CNRS, a fait connaître au grand public les rapports des effets indésirables liés aux vaccins publiés sur le site de l’ANSM. Ci-joint la source du rapport du 16 juillet pour le vaccin Pfizer (source), vous pourrez y lire page 8 qu’il y a eu 761 décès et 2 551 mises en jeu du pronostic vital. Que s’est-il passé après cela? Les médias tel que CNews ont nié de tels chiffres quand Jean-Frédéric POISSON les a évoqué en direct sur leur chaine et le gouvernement ne s’est pas exprimé sur le sujet. Pire, il y a eu visiblement une demande faite à l’ANSM pour changer leurs rapports afin de ne plus donner l’intégralité des résultats. Ci-joint le rapport du 24 août (source).
Vous comprendrez donc qu’à la lumière de toute ses informations je refuse de me faire injecter tout protocole expérimental lié à la prévention de la covid. Je vais donc continuer à prendre soin de ma santé tout seul:
– en pratiquant le sport là ou je le peux encore vu que certains lieux comme les terrains de tennis ou de golf ont été interdit aux personnes non munies d’un passeport sanitaire,
– en mangeant équilibré pour faire attention à mon indice de masse corporelle,
– en faisant de la prévention avec des compléments alimentaires à base de Vitamine D et de Zinc qui me permettent depuis plusieurs années de ne pas être atteint par les maladies respiratoires hivernales.
Malgré toutes ses précautions, j’entends déjà les foudres de ceux qui ne comprendront pas que je ne me fasse pas vacciner et me rétorqueront qu’en allant à l’hôpital je prendrais la place de quelqu’un qui en aura besoin. C’est pourquoi j’accepte fièrement d’aller au bout de mes convictions personnelles en vous envoyant cette lettre de renonciation aux soins hospitaliers dans le cas où je développe des complications liés à une infection virale de type SARS-Cov2.
Spirituellement, je n’aime pas cette psychose de peur de la mort qui a envahi notre société depuis plus d’un an. Les principaux instigateurs en sont les membres de notre gouvernement et elle est largement relayée par les médias complices. Ce n’est pas le monde dans lequel je souhaite vivre. C’est pourquoi je préfère mourir libre plutôt que vivre dans leur société!
Avec toute l’admiration que j’ai pour le personnel qui travaille dans la Santé, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations.
Frédéric Stéphan VILLAESCUSA